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Showing posts from May, 2019
Ce qui manque aujourd’hui à Haïti ? Abner Septembre, Sociologue Le problème d’Haïti est apparemment bien connu, pour avoir été analysé ou débattu sous plusieurs angles ( politique, social, économique, historique, naturel, environnemental, géographique, stratégique, artistique, culturel, psychologique, organisationnel, managérial, diplomatique, scientifique, technologique, etc.), par plusieurs acteurs, à différents niveaux national et international.   Que d’opinions émises sur les ondes de la radio, à la télé, dans les journaux, sur les réseaux sociaux, par internet, dans les groupes et cercles d’amis, par des experts, des intellectuels et de simples citoyens. Que de missions d’experts, de fora, de colloques, de retraites, de réflexions, de diagnostics, de recherches, d’études, de rapports, de publications sous différentes formes, qui alimentent les dirigeants et la société en information et en recommandations, les unes plus pertinentes ou plus réalistes que les autres, sans oub
CENTRE BANYEN VOUS PROPOSE QUELQUES PLANTES PEU CONNUES A DECOUVRIR PREMIERE PLANTE Cette plante, de la famille des Urticacées ( Urera baccifera ), est originaire d’Amérique.   Elle est connue sous différents noms : Ortiga brava, pica pica, Chichicaste, purichi, pringamosa,  pauvre femme , chigger, Guaritoto, ishanga,  effraie le diable , scratchbush, mala mujer, nigua,  guêpes Manman ou Maman guêpes , et Urtiga bronca.   A Vallue, les paysans l’appellent « Lang bèf » (langue de bœuf), ou encore dans d’autres zones « galgal ».   C’ est une plante couverte d’épines et de poils urticants ( même sur son tronc, des épines qu’il ne faut pas toucher ).   Il y a pleins de petites glandes qui contiennent de l’acide formique.   La piqûre provoque une  sensation de brûlure qui peut durer plusieurs heures, voire toute la journée , et peut s’accompagner d’une éruption cutanée et même de fièvre si une surface de peau importante est touchée.   Pour calmer la douleur, certains recommand